Lundi 26 septembre prochain les entrées du site Internet de Mendiexpo (http://mendiexpo.ficoba.org) seront mises en vente pour vous permettre d’assister aux projections du Festival de Cinéma de Montagne de Banff. Cette nouvelle initiative vient s’ajouter au programme d’activités parallèles de Mendiexpo.
La journée dédiée au Festival de Banff aura lieu ce dimanche 30 octobre à l’Auditorium de Ficoba avec deux séances au choix, soit le matin, soit l’après midi lesquelles commenceront respectivement à 10h30 et 16h30. Les salles seront accessibles une demi heure à l’avance. Chaque séance sera constituée de six films d’une durée globale d’environ trois heures. Le prix de l’entrée est de six euros et inclut l’entrée dans la salle de projections mais aussi l’accès à toute la zone d’exposition ainsi qu’à toutes les activités de Mendiexpo Outdoor Experience.
LeFestival de Cinéma de Montagne Banff, organisé depuis 1976 dans la ville canadienne du même nom, est l'un des plus importants et prestigieux festivals en son genre dans le monde. Depuis des années, le festival parcourt le monde avec son Banff Mountain Film Festival World Tour et il a déjà visité 32 pays. Une formule qui vise à diffuser les films de la plus haute qualité qui participent à ce concours. Des projections qui comprennent des sports d'action, de nature et d’aventure.
Les films
Dream Result
Prix Banff du Public Meilleur Film Radical.États-Unis, 2009. Dirigé par Rush Sturges. 17 minutes.
Un groupe d'experts athlètes et amis sentent la nécessité d'explorer les limites du possible. Les expéditions en Norvège et à la recherche de chutes d’eau en Argentine et aux États-Unis font partie du programme Dream Result.
The Asgard Project
Prix Banff: Meilleur Film d’Alpinisme. Royaume-Uni, 2009. Dirigé par Alastair Lee. 60 minutes.
Asgard Projectest un film sur l’ambitieux projet de Léo Houlding de gravir le premier en libre la Tour Nord de l’incroyable Mont Asgard sur l'île de Baffin, située dans le cercle Arctique. Son compagnon, le grimpeur de paroi verticale Stanley Leary, le rejoint et ils décident de se lancer en wingsuit (combinaison volante) du haut de la cime. La saison est bien avancée et la tentative commence rapidement à tourner mal. Après un atterrissage spectaculaire en parachute sur le Mont Asgard, les conditions météorologiques adverses entravent le simple fait d'atteindre la base de l'ascension, qui devient un authentique défi.
Deeper
États-Unis, 2010. Dirigé par Jeremy Jones. 27 minutes
Jeremy Jones et d'autres top freeriders explorent des territoires vierges, sans l'aide d'hélicoptères ni de motoneiges. Deepernous montre comment Jones relève les plus grands défis qu’il a jamais rencontrés dans le snowboard. Grimper toutes les nuits, dormir sur des crêtes, camper à 100 Km de la civilisation, supporter des températures de -20º C, des orages qui durent 10 jours et parcourir 30 km par jour.Une aventure non-stop. Film 100% neutre en carbone.
Tuzgle
France, 2010. Dirigé par Julien Nadiras et Vladimir Cellier. 13 minutes.
Au pied du volcan Tuzgle en Argentine s’étend un site majestueux et inexploré de parois de roche. Tuzgle est l’aventure de l’alpiniste suisse Nina Caprez et de ses compagnons d’escalade, à travers cet espace naturelsitué en plein désert.
The Swiss Machine
Etats-Unis, 2010. Produit par Nick Rosen et Peter Mortimer. 20 minutes
Ueli Steck est probablement le grimpeur le plus rapide du monde de tous les temps. The Swiss Machine passe en revue les records qu’il a battus dans les Alpes, avec des séquences aériennes à couper le souffle, où il escalade rapidement des parois de jusqu'à 2.500 mètres. Aux côtés d’Alex Honnold, avec lequel il escalade le Yosemite, Steck se fixe un objectif ultime : tester sa rapidité alpine sur les parois les plus imposantes et hautes du monde.
The Longest Way
Prix Banff Meilleur Court-métrage de Montagne. Allemagne, 2009. Dirigé par Christoph Rehage. 5 minutes
The Longest Wayest la vidéo time-lapse d'un périple initiatique entre Pékin et Urumqi, que Christoph Rehage met un an à parcourir. Dans ce film d’à peine cinq minutes, le passage du temps et la distance parcourue sont représentés d'une manière ingénieuse par la longueur de la barbe du protagoniste.
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